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Édition 2019

Avant Première – Cinéma Moderne

mardi 26 mars – 18h

TOUROU ET BITTI
(les tambours d’avant)

par JEAN ROUCH, 1967 (au Niger)

France | 12min | VOF

Une danse de possession se déroule dans la concession du Zima Dauda Sido, au Niger. Lors de cette fête où les participants demandent au génie de la brousse de protéger les récoltes contre les sauterelles, les tambours archaïques Tourou et Bitti vont battre. L’orchestre se compose d’un joueur de vièle, de trois batteurs de tambours calebasses turu et du joueur de tambour grave à membrane biti . Ce film a été tourné en un seul long plan séquence.​​​

mardi 26 mars – 18h15

PETIT À PETIT

par JEAN ROUCH, 1971 (en France et au Niger)

France | 96min | VOF

Damouré, qui dirige à Ayorou (Niger) avec Lam et Illo la société d’import-export Petit à petit décide de construire un « grand Building » dans son village. Il part à Paris pour voir comment on peut vivre dans des maisons à étages. Dans la capitale, il découvre les curieuses façons de vivre et de penser des Parisiens qu’il décrit dans des Lettres persanes envoyées régulièrement à ces compagnons, jusqu’à ce que ceux-ci, le croyant devenu fou, envoient Lam le rejoindre pour se rendre compte sur place.

SOIRÉE D’OUVERTURE – Nomad Life

JEUDI 28 MARS – 18h30

RESEARCH / SOUVENIR
(DIALOGUES)

par ROGER HORN, 2018 (en Afrique du Sud)

Afrique du Sud | 18 min | VOSTA

Research / Souvenir (Dialogues) utilise des séquences Super 8mm trouvées en Rhodésie (Zimbabwe) et des extraits de recherches ethnographiques recueillies auprès de femmes migrantes zimbabwéennes du Cap, en Afrique du Sud.

JEUDI 28 MARS – 18h50

UN AMOUR RÊVÉ

par ARTHUR GILLET, 2018 (en Belgique)

Belgique | 77 min | VOSTA

Enfant, Arthur est fasciné par l’histoire d’amour idyllique de ses grands-parents : une belle Congolaise mariée à un colon belge. Mais peu de temps après le décès de sa grand-mère, le jeune réalisateur découvre des archives familiales qui bousculent ses souvenirs d’enfance.

JEUDI 28 MARS – 21h20

TSHWEESH

par FEYROUZ SERHAL, 2017 (au Liban)

Espagne | 25 min

La Coupe du Monde de Football commence aujourd’hui et les Beyrouthins attendent avec impatience le grand événement attendu. Alors que la vie continue normalement ce jour-là, le signal du premier match semble être perturbé par d’étranges ondes audio. La frustration dans l’air s’accumule et cède la place à un événement plus grand.

Vendredi – MUSÉE MCCORD

Vendredi 29 mars – 18h

WAMIN

par KATHERINE NEQUADO, 2018 (au Canada)

Canada | 2 min | VOSTA
COURT MÉTRAGE WAPIKONI MOBILE

Wamin signifie pomme en atikamekw. Rouge à l’extérieur, blanc à l’intérieur. Il s’agit d’une insulte envers les personnes qui quittent leur communauté pour aller vivre en ville. Une jeune Atikamekw montre que vivre ailleurs que dans sa réserve ne trahit pas sa vraie nature.

Vendredi 29 mars – 18h05

KA USSI TSHISHKUTAMAHUHT

par RACHEL, BEATRICE ET GISELE MARK, 2018 (au Canada)

Canada | 4 min | VOSTA
COURT MÉTRAGE WAPIKONI MOBILE

Un groupe de femmes d’Unamen Shipu s’est donné comme mission de former une chorale mais tout ne se passe pas comme prévu.

Vendredi 29 mars – 18h10

QUILLIQTU

par KEVIN TIKIVIK, 2018 (au Canada)

Canada | 5 min | VOSTA
COURT MÉTRAGE WAPIKONI MOBILE

Inspiré par sa propre histoire, le récit de Qilliqtu (Objet brillant) rappelle aux spectateurs les réalités autochtones présentes et passées tout en célébrant le rapport à la terre.

Vendredi 29 mars – 18h30

CEUX QUI VIENDRONT, L’ENTENDRONT

par SIMON PLOUFFE, 2018 (au Canada)

Canada | 76 min | VOSTA

Soutenu par un travail d’exploration et de création d’archives, le film permet de mieux saisir la musicalité de ces langues et dévoile l’importance culturelle et humaine de ces traditions orales millénaires en nourrissant une réflexion collective sur les conséquences de leur disparition.

Langues : abenaki / atikamekw / innu / mohawk / naskapi / inuktitut / français / anglais.

Samedi – UNIVERSITÉ DE MONTRÉAL

SAMEDI 30 MARS – 10H

AVANT L’AUTOMNE

par SARAH BARIL GAUDET, 2019 (au Canada)

Canada | 15 min | VOSTA

À la veille d’un exil inévitable vers les centres urbains, la jeunesse du Témiscamingue est partagée entre le désir d’un avenir meilleur et l’attachement à son territoire.

SAMEDI 30 MARS – 10h15

BOLI BANA

par SIMON COULIBALY GILLARD, 2017 (au Burkina Faso)

Belgique| 60 min | VOSTA

Dans le village de Boli Bana, Ama et Aissita vivent les derniers instants de l’enfance. A travers leurs yeux, se dessine l’histoire d’un monde nomade et mystique. Une enfance peulh au Burkina Faso.

SAMEDI 30 MARS – 11h35

LES ENFANTS DU BÉTON

par JONATHON PHANHSAY-CHAMSON, 2017 (en France)

France | 6 min | VOSTA

Suis-je français ou bien chinois ? J’erre dans mes questions identitaires. Je confronte les mots de personnalités médiatiques avec ceux des enfants de la deuxième génération pour essayer d’y voir plus clair. Je me remémore la France, ma France.

SAMEDI 30 MARS – 11h45

34 MÈTRES D’ALTITUDE

par KENZA AFSAHI, 2017 (en France)

France | 57 min | VOSTA

34 mètres d’altitude, est un essai ethnographique et poétique sur la vie d’un village du Nord de la France, jouxtant Hénin-Beaumont, réalisé par une cinéaste marocaine. Pendant plus de trois années, Kenza Afsahi a partagé le quotidien des habitants, est allée au bistrot, s’est intégrée à un groupe de chasseurs et a suivi les activités festives et traditionnelles du village, comme la procession religieuse de Notre Dame de Grâce.

SAMEDI 30 MARS – 13h

AU FANTÔME DU PÈRE

par MARIE-LAURENTINE BAYALA, 2018 (au Burkina Faso)

Burkina Faso | 52 min | VOSTA

Métisse franco-burkinabè, Claire a été séparée de son père dès l’âge de 6 ans. Trente-cinq ans plus tard, elle se bat pour le retrouver. Une quête identitaire qui tourne presque à l’obsession et qui la renvoie à son passé douloureux…

SAMEDI 30 MARS – 13h55

BE’JAM BE ET CELA N’AURA PAS DE FIN

par CAROLINE PARIETTI & CYPRIEN PONSON, 2017 (en Malaisie)

France & Suisse | 85 min | VOSTA

Au Sarawak, l’un des deux États malais de l’île de Bornéo, “ceux de l’amont des rivières” sont les premiers touchés par la déforestation. Les Penan, naguère nomades, sont aujourd’hui dans le cœur du tourbillon : comment continuer à vivre quand tout s’effrite autour de soi, quand le paysage disparaît entraînant avec lui langue, pratiques, esprits ?

Samedi – Cinéma Moderne

SAMEDI 30 MARS – 17h

ÉLOGE DU CHIAC

par MICHEL BRAULT, 1969 (au Canada)

Canada | 27 min | VOSTA

Réalisé sous forme de conversations entre une jeune institutrice dans une école française de Moncton et ses élèves, ce film montre les difficultés des francophones pour sauvegarder leur langue dans une société où l’anglais prime partout depuis des siècles.

SAMEDI 30 MARS – 17h30

THE THINGS I CANNOT CHANGE

par TANYA BALLANTYNE, 1967 (au Canada)

Canada | 55 min | VOSTFR

Le film propose, en trois semaines, un aperçu de la vie quotidienne de la famille Bailey. Des problèmes avec la police, mendier du pain rassis et la naissance d’un autre enfant ne sont que quelques-uns des problèmes auxquels ils sont confrontés. Bien que filmé à Montréal, le film offre une anatomie de la pauvreté telle qu’elle se produit partout en Amérique du Nord.

SAMEDI 30 MARS – 20h

LA PART DU DIABLE

par LUC BOURDON, 2017 (au Canada)

Canada | 102 min | VOSTA

La part du diable propose un regard singulier et nouveau sur la Révolution tranquille durant les années 1970. Dans un geste d’une rare poésie, avec l’aide de son complice, le monteur Michel Giroux, Luc Bourdon (La mémoire des anges) se penche sur notre histoire et nous montre avec cohérence, à grand renfort d’extraits tirés de près de 200 films de la collection de [l’ONF], les dessous d’une décennie au cours de laquelle le Québec s’est profondément transformé.

Dimanche – Université de Montréal

Dimanche 31 mars – 10H

TRACES D’HIVER

par MATHIEU GERMAIN, 2018 (au Canada)

Canada | 14 min | VOSTA

Sur le fleuve Saint-Laurent gelé, quelques irréductibles bravent les conditions pour pratiquer leur activité hivernale favorite : la pêche à l’éperlan. À travers ce rituel glacé, les humains interagissent avec leur milieu naturel.

Dimanche 31 mars – 10h15

PORTRAITS D’ARCTIQUE : UN VOYAGE ETHNOGRAPHIQUE AU PAYS DES DOLGANES

par NICOLAS MINGASSON & VINCENT GAULLIER, 2018 (en Russie)

France | 48 min | VOSTFR

La péninsule de Taïmyr est située à l’extrême nord de la Sibérie, au-delà du cercle polaire arctique. C’est là que vivent les Dolganes. Le jeune ethnologue Yann Borjon Privé est allé les étudier. Pavel, éleveur de rennes, Alexsandra, vétérinaire à la retraite, pêcheur de Mickail, Zoïa, infirmière…huit Dolganes lui racontent leur vie actuelle et passée.

Dimanche 31 mars – 11h20

AFTER PRAYERS

par SIMONE MESTRONI, 2018 (en Inde)

Italie | 60 min | VOSTA

Au Cachemire indien, entre un appel à la prière et l’autre, la vie quotidienne se mêle à la politique séparatiste, à l’islam et à la violence de routine. Des souvenirs traumatiques des funérailles d’un guérillero aux émeutes anti-indiennes actuelles dans les rues, en passant par le récit d’un muhajideen mutilé, le destin des personnes semble être façonné par l’espoir et la colère, l’amour et le chagrin, la poésie et la brutalité.

Dimanche 31 mars – 12h30

WHAT THE WIND TOOK AWAY

par HELIN CELIK & MARTIN KLINGENBÖCK,  2017 (en Turquie)

Autriche | 75 min | VOSTA

What The Wind Took Away est une approche profondément poétique des histoires très personnelles de ces femmes yézidies et un voyage lyrique à travers leur vie quotidienne dans un camp de réfugiés.

Dimanche 31 mars – 13h50

LE MONUMENT DE LA PLAGE

par DORIAN DEGOUTTE, 2018 (au Sénégal)

France | 10 min | VOF

À Cap Skirring, mais comme ailleurs en Afrique, les briques sont fabriquées directement sur place, avec un peu de ciment, de l’eau et le sable même de la plage. La situation mise en place et filmée caméra à l’épaule, interroge le potentiel symbolique d’un mur de briques et questionne le devenir écologique autant qu’urbain de l’espace commun que sont (encore) les plages.

Dimanche 31 mars – 14h

HOA

par MARCO ZUIN, 2017 (au Vietnam)

Italie | 20 min | VOSTA

Ce documentaire suit la vie quotidienne de Hoa, une guérisseuse de l’ethnie Dao vivant dans un village rural du Nord-Vietnam. Hoa collecte des plantes médicinales dans la forêt, préservant ainsi sa biodiversité, et guérit la communauté avec l’aide de sa fille Chiem et de sa famille. Alors que les forêts sont menacées de déforestation en raison de leur développement rapide, Hoa continue de transmettre l’ancienne tradition féminine des pratiques de phytothérapie.

Dimanche 31 mars – 14h45

SNOWBIRDS

par JOANIE LAFRÈNIÈRE, 2018 (aux États-Unis)

Canada | 48 min | VOSTA

Avec tendresse et humour, ce film s’attarde à une réalité trop souvent tournée en dérision en proposant une immersion dans l’univers typique des maisons mobiles et motorisés qui peuplent Fort Lauderdale. Un univers où le flamant rose et le français sont rois. Ce documentaire intimiste met en lumière des aînés colorés qui migrent vers les tropiques, en quête d’une société des loisirs qui saura les divertir. Bienvenue dans le french district de la Floride, au paradis du snowbird.

Dimanche 31 mars – 16h

WINDSWEPT

par CAHYO PRAYOGO, 2017 (en Indonésie)

Indonésie | 5 min

Regarder le monde à travers le corps d’un pigeon voyageur, titubant comme un avion de chasse qui perd le contrôle de la piste. Et encadrant ainsi, un paysage basé sur une expansion massive de propriétés dans la banlieu de Surabaya (Java oriental).

Dimanche – Université Concordia

Dimanche 31 mars – 16h05

SONS OF WORTHLESSNESS

par JACQUELINE MAGEN, 2018 (en Israël)

Israël | 8 min

Un voyage personnel documentant la froide scène d’avant-garde de Jérusalem qui révèle la décadence et la soif de nouvelles valeurs.​

Dimanche 31 mars – 16h15

GUARDIANS OF THE NIGHT

par ALEXANDRINE BOUDREAULT-FOURNIER & ELEONORA DIAMANTI, 2018 (à Cuba)

Canada | 15 min

Lorsque la nuit tombe à Guantánamo et envahit les rues, d’autres formes de vie apparaissent. Guardians Of the Night met en lumière les gens, les activités, les lieux et les idées qui se produisent au quotidien la nuit, dans l’est de Cuba.

Dimanche 31 mars – 16h30

20-22 OMEGA

par THIERRY LOA, 2018 (au Canada et aux États-Unis)

Canada |  111 min

20-22 OMEGA est un long métrage qui explore l’émergence d’une nouvelle humanité dans l’Anthropocène, une époque sans précédent dominée par la présence et les activités humaines (dit L’Entreprise Humaine), et définie par des changements accélérés, des possibilités inimaginables et des incertitudes complexes.

Dimanche 31 mars – 19h45

TOKYO 905

par ERAN SAGI, 2017 (au Japon)

Israël | 49 min | VOSTA

Un voyage émotionnel et cinématique en deux registres. Le premier s’inspire du travail analytique et contemplatif de Chris Marker. L’autre relève du personnel et de l’émotionnel, dans lequel émergent des questionnements sur la relation avec ma partenaire, une réflexion sur notre future famille et les décisions à prendre lors de la mise au monde d’un enfant.

Dimanche 31 mars – 20h40

INVERSE

par AARÓN ÁLVAREZ, 2017 (au Mexique)

Mexique | 10 min | VOSTA

Depuis huit ans, Ricardo et Carlos forment un couple et animent un show, Las Durango : Bárbara et Cordelia. Ils sont désormais célèbres sur la scène Drag Queen de Mexico. Las Durango abordent des idées telles que la féminité, la misogynie et le machisme, qui touchent les femmes et les hommes victimes de violence de genre.

Dimanche 31 mars – 20h50

THE SISTERHOOD : VISITS WITH MY FRIENDS

par ROGER HORN, 2017 (en Afrique du Sud)

Afrique du Sud | 24 min | VOSTA

Feebee observe, provoque et discute avec son entourage proche, des relations amoureuses qui ont échoué, de sa religion, de ses aventures ivres et de la perte de sa famille. “Le premier film [de Roger Horn], The Sisterhood, était vrai mais tout le monde se montrait sous son meilleur jour devant la caméra ; mais ce n’est pas toujours ce que nous sommes.”

Dimanche 31 mars – 21h15

LA NUIT ÉCLAIRE LA NUIT

par LO THIVOLLE, 2017 (en France)

France | 72 min | VOSTA

“On s’est rencontrés sur les bancs de la faculté, chacun dans nos solitudes. On s’est retrouvés quelques années plus tard sur le banc d’une place publique. Tu y trônais, comme un Roi ! Celui des étrangers qui habitent la ville comme un peuple d’antan habite les rues comme un royaume. Tu m’as présenté ton père, Roi d’un village au Niger et personnage principal d’un film [ethnographique] d’Eliane De Latour.”

Lundi – Université de Montréal

Lundi 1er avril – 18h

JE LA CHANTE SOUS LA DOUCHE HABITUELLEMENT

par MARIANNE BELIVEAU, 2018 (au Canada)

Canada | 16 min | VOSTA

En plongeant dans l’atmosphère vivante de cette enclave populaire, ce film tend l’oreille à la clientèle régulière du bar « Le Dauphin » et s’immerge à l’intérieur des murs, de l’autre côté des stéréotypes, là où chacun.e, à sa manière, cherche à s’abreuver d’un instant de liberté.

Lundi 1er avril – 18h

VACANCY

par ALEXANDRA KANDY LONGUET, 2018 (aux États-Unis)

Belgique| 80 min | VOSTFR

Ultime refuge pour les laissés-pour-compte du rêve américain, les motels hébergent une population d’humains à la dérive qui, de crise en crise – économique et personnelle – ont été dépossédés de tout. Certains d’entre eux ont tout perdu. Certains d’entre eux ont tout laissé. Certains ont encore des rêves. Certains d’entre eux ne se souviennent plus très bien, aspirés par la survie quotidienne.

Lundi 1er avril – 20h

CHEZ JOLIE COIFFURE

par ROSINE MBAKAM, 2018 (en Belgique)

Cameroun | 70 min | VOSTA

Dans ce salon de 8m2, Sabine et les autres coiffeuses s’organisent et s’entraident pour faire face à la “clandestinité”. Elles travaillent 13 à 14 heures par jour sous la menace de la police qui patrouille et le regard des touristes de tout âge les observant et les photographiant comme des objets en vitrine.

Lundi 1er avril – 21h25

THIRD-CLASS TRAVEL

par RODION ISMAILOV, 2017 (en Russie)

Russie | 80 min | VOSTA

Un documentaire qui retrace la vie de passagers empruntant le plus long chemin de fer du monde. Le réalisateur raconte les histoires et les fortunes des Russes ordinaires rencontrés par hasard dans le train Moscou-Vladivostok. Ce voyage sans fin est une métaphore du pays en perpétuel mouvement, tandis que les histoires des passagers forment un portrait social de la société russe contemporaine.

Soirée de clôture - Nomad Life

Mardi 2 avril – 18h30

HISTORIES OF WOLVES

par AGNES MENG, 2018 (au Portugal)

Portugal | 22 min | VOSTA​

Ce film est une collection d’histoires liées au loup dans les montagnes du nord du Portugal. Parmi les montagnes rocheuses, il y a un village appelé Pitões das Júnias. À l’heure de la tombée de la nuit, les bergers se rassemblaient et racontaient des histoires. Mythe, mort, meurtres… des choses pourraient ou ne pourraient pas arriver, mais inspirées par des combats internes entre humains et loups, entre nous et la nature.

Mardi 2 avril – 18h55

DJAMILIA

par AMINATOU ECHARD, 2018 (au Kirghizistan)

France | 124 min | VOSTA

Le film part au Kirghizistan à la recherche du personnage principal du roman de Tchinghiz Aitmatov. Djamilia, écrit en 1958, nous invite à travers le pays à rencontrer plusieurs générations de femmes qui nous parlent de Djamilia, une jeune femme qui enfreint les règles de la société kirghize. Ce faisant, ces femmes libèrent un mot intime, se révèlent et nous parlent de leurs rêves, de leur amour, de leurs désirs et de leur liberté.

Mardi 2 avril – 21h40

MOKSHA

par JAN WAZ, 2018 (en Inde)

Pologne | 15 min | VOSTA

Moksha en sanskrit signifie « salut ». Sur les rives du fleuve sacré, le Gange est l’une des plus anciennes villes du monde, peuplée aujourd’hui par les Banaras. Les hindous viennent mourir ici et brûlent leurs corps pour se libérer du cycle de la réincarnation. Le film est un enregistrement du dernier voyage avant de briser le cycle de la vie.

Mardi 2 avril – 21h55

COCO HEAT

par SERGIO SANTOS, 2018 (au Brésil)

Brésil | 11 min | VOSTA

Les souvenirs ancestraux des artistes ruraux à travers le rythme de quatre groupes de coco brésilien [rythme et danse de la région du Nord-Est du Brésil].

Mardi 2 avril – 22h10

OF LOVE AND ARTISTRY

par SURUCHI SHARMA, 2017 (en Inde)

Inde | 45 min | VOSTA

Un film qui explore le style et les histoires de vie de différents artistes folkloriques du Rajasthan, en Inde. Tout en racontant des souvenirs et des anecdotes associés à John Singh (John Da), l’homme qui a aidé ces artistes à explorer le monde de la musique sur diverses plateformes et aller au-delà des limites de leur espace régional.