* Discussion animée par Francine Saillant, anthropologue et artiste québécoise s’étant spécialisée en anthropologie médicale et du care, et notamment sur les questions touchant le handicap, les droits de la personne, la pluralité, la justice sociale et la reconnaissance, tout en ayant développé une réflexion et une pratique méthodologique ancrée dans la recherche-création par le biais de la vidéo, des arts visuels et de l’écriture.
Odehimin, c’est se reconnecter avec soi-même et réapprendre à s’aimer. Un magnifique court-métrage expérimental permettant une réappropriation du soi et du corps.
Kijâtai est né-e à Val-d’Or d’une mère allochtone et d’un père autochtone de la nation Anishnabe. Iel se considère artiste et activiste. Iel a entre autres réalisé trois courts-métrages qui abordent les réalités autochtones (Kijâtai, Kabak et Odehimin) en utilisant les images et les sons d’une façon poétique. Iel s’engage présentement à travers les organismes tels que Puamun Meshkenu, Mikana et Wapikoni en tant qu’ambassadeur-drice, ce qui lui permet de présenter des ateliers de sensibilisation et participer à la discussion sur les cultures et réalités autochtones tout en œuvrant pour la construction de ponts entre autochtones et non-autochtones.
CINÉMA DU PARC